Un « texte collectif » a atterri hier dans l’essentiel des rédactions du paysage médiatique. « Au nom de la République et de la Démocratie, prétendent agir ses signataires : des individualités, partis et mouvements politiques, qui ont comme dénominateur commun l’actuelle « seule et unique constante » de son bord de Grand élu. Au lendemain de sa virulente sortie, les uns et les autres entendent en découdre avec les « populistes », qui voudraient utilser « l’antisystème » comme « un raccourci démagogique qui charrie toutes les formes de violences, verbales et physiques destinées à la banalisation et, à terme, l’anéantissement des institutions, des symboles de la République et de l’Etat de droit ».

Pas besoin donc de dessiner le profil de celui et ceux dans leur ligne de mire. Un « texte collectif » publié le même jour qu’est tombée la sentence menant un certain Sonko vers la chambre criminelle contre la Adji de Sweat beauty. « Un autre piment dans la marmite épicée et en ébullition du rewmi », a commenté le voisin Demba.

Kélétigui