Depuis sa confrontation avec son présumé violeur, Adji Sarr a même ravi la vedette à son accusé Ousmane Sonko. Cependant depuis sa récente sortie du bureau du Doyen des juges, au sujet de ses échanges audio avec Mc Niass, la jeune dame est comme qui dirait à l’image d’une libellule autour de flammes.

Son visage était connu, sa voix l’est devenue avec cet élément sonore et suave, dans lequel elle est à toi et à tu, avec Mc Niass. Au sujet du « montage » du dossier qui l’a porté sous les projecteurs, du plan et du projet qu’ils affinaient sur le dos de ceux qu’Adji a traité de tous les noms d’oiseaux. Des échanges et propos qui n’honorent pas une prétendue victime projetant un « hold-up » avec son « guide », éberlué.

Le camp de son accusé, Ousmane Sonko, ne peut que répandre, triomphalement, la « preuve du montage ».

La menace contre sa personne s’écarte du coup des partisans de son prétendu bourreau Sonko.

Elle demeure quand même et avec plus de risques.

Parmi les « flammes » au dessus de ses « ailes » celui de ses conseils, qu’elle accuse dans l’audio, et des sentiments à son profit.

La gerbe de feu pourrait, aussi, venir du « front » qu’elle a créé et dont elle ne serait qu’un pantin.

Et last but not least, l’audio a suinté pour ne pas dire sali, l’image de son « confident » et « guide », qui a quand même ses inconditionnels. Malgré d’être un « Mc ».

Keletigui