Sous la houlette de son directeur général, Souleymane Téliko, le CFJ s’engage dans une dynamique de réforme ambitieuse. Parmi les nouveautés annoncées figurent la digitalisation de la gestion de la formation, la révision des syllabus, une formation en andragogie pour les formateurs et la mise en place d’un système d’évaluation pédagogique.

« La formation que vous entamez est exigeante. Discipline, responsabilité et humilité seront vos alliées », a déclaré M. Téliko devant les nouveaux élèves.

La cérémonie s’est tenue en présence d’Aminata Faye, directrice adjointe de la Protection judiciaire et sociale, représentant le ministère de la Justice. Elle a salué la démarche de modernisation, tout en insistant sur l’éthique professionnelle et les valeurs républicaines comme piliers de la formation.

Isaac Yankhoba Ndiaye, président du conseil d’administration du CFJ, a également insisté sur l’importance de la déontologie dans la formation comme dans l’exercice futur des fonctions judiciaires.

Avec cette rentrée, le CFJ affirme sa volonté de devenir une référence nationale en matière de formation judiciaire, au service d’une justice plus professionnelle, plus éthique et mieux outillée.