Dans une mise au point, la Direction affirme ignorer l’existence de “l’Union des Assistants à la Sécurité de Proximité”, à l’origine du communiqué incriminant les autorités.

Contrairement aux accusations, des démarches concrètes sont en cours pour permettre le retour des agents concernés. Ceux-ci ont déjà été identifiés, répertoriés et soumis à une visite médicale d’aptitude, précise le document. Seule la formation de recyclage, préalable à leur réintégration, est temporairement reportée pour des raisons budgétaires actuellement en cours de traitement.

La Direction générale réaffirme son engagement en faveur de la transparence, de l’équité et du bien-être des ASP, appelant à éviter toute désinformation susceptible de semer la confusion parmi les agents.