La confiance en soi, est le moteur de toute réussite. Elle écarte le doute et en prémunit même. Elle ne retienne comme unique et ultime objectif que la réussite, le succès et toute autre consécration. Elle a fait le bonheur de ceux qui s’en sont munis pour ne plus s’en départir. Des politiciens et aux hommes d’affaires, en passant par les candidats à un concours, une position. Sa nécessité dans notre siècle de stress est telle que la confiance en soi est devenue une discipline transversale, jalousement entretenue. Elle est le secret des preneurs de décisions et homme de terrains de tous les horizons. Elle fonctionne au niveau individuel, comme collectif.
C’est d’elle que devront se revêtir nos « lions » du foot, sur une pente là-bas au Qatar. Elle est le support décisif qui leur permettra de franchir l’Equateur, pour s’installer dans la Cour des grandes nations du ballon rond.
Il s’agira donc d’en faire montre avec élégance et assurance, pour s’éviter un retour quasi immédiat au bercail, par la petite porte et avec les affres de nouveaux doutes. Certainement que « Lune la crinière » connaît ce secret qui assure la gagne et qu’il l’a insufflée à ces «guerriers ». Lui qui en est resté un, grâce à feu Bruno Metsu. Lui qui doit à la mémoire de l’illustre Pape Bouba, parti pour de bon un 29 novembre, la victoire sur l’Equateur.
Oui, seule la confiance en soi, individuellement et collectivement, permettra de matérialiser les vœux et prières de tous les Sénégalais. Elle seule doit prévaloir en ce « talataay nder ». Nos « linguères » sont debout.
Kélétigui