Le légataire des « titres fonciers du Sine et du Fouta » a comme décidé de rayer de son « ni Oui, ni Non », à la toute prochaine élection présidentielle, toute négation. Le cas échéant, il lui faudra bien avant de se risquer à sa 2ème candidature avoir l’efficacité d’un Sapeur-pompier : pour faire enterrer par les syndicalistes leur « And Gësëm » en sa faveur, contenter les paysans qui se plaignent du prix qui leur est proposé pour un kilo de « guerté ». Et si les producteurs d’arachides boudent, les consommateurs sénégalais se demandent eux si la baisse annoncée des denrées de première nécessite et le prix du loyer ne connaîtront pas le sort des tarifs qui furent arrêtés, en 2014, par le tout nouveau « prince » qu’était celui que vous savez. Gardons nous de le nommer, puisque que nous pisse-copies devons être, plus que jamais, sur nos gardes. Car, désormais, après l’embastillement de notre nouvel investigateur envoyé à Sébi qui forma nos premiers instituteurs africains,  toute publication qui dérange pourrait conduire devant la barre de nos commentés cours et tribunaux.

Alors, le candidat potentiellement potentiel à son propre remplacement saura-t-il se réconcilier ruraux, frondeurs citadins, consommateurs, locataires et membres du 4ème pouvoir ? Qui vivra verra ! Pour sûr s’il espère rallier le maximum autour de lui en direction de 2024, le tombeur du « sorcier politique », Kang Bayi Karim, devra impérativement s’appliquer son mode « fast-track ». A défaut, Attention à la « Grande inondation » !

Kélétigui