Lors de la séance plénière à l’Assemblée nationale hier lundi, Abdou Mbow, président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar, a annoncé le dépôt imminent d’une motion de censure contre le gouvernement. “J’annonce solennellement que nous allons déposer dès demain une Motion de censure pour faire tomber le gouvernement”, a déclaré Abdou Mbow devant l’hémicycle.

Cette annonce intervient dans un climat politique tendu, après le rejet du projet de loi sur la révision de la Constitution visant la suppression du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE) et du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT). Si cette motion est effectivement déposée, une session extraordinaire sera convoquée pour en débattre, s’ajoutant aux deux précédentes sessions déjà tenues, notamment sur la révision du règlement intérieur de l’Assemblée nationale et celle liée à la dissolution des institutions.

Selon l’article 87, alinéa 3 de la Constitution, “l’Assemblée nationale peut provoquer la démission du Gouvernement par le vote d’une motion de censure. La motion de censure doit, à peine d’irrecevabilité, être revêtue de la signature d’un dixième des membres composant l’Assemblée nationale”. Une fois déposée, la motion de censure ne pourra être votée que deux jours francs après son dépôt sur le bureau de l’Assemblée nationale.

Le vote se fera au scrutin public et nécessitera la majorité absolue des membres de l’Assemblée. Seuls les votes favorables à la motion de censure seront comptabilisés. Si la motion est adoptée, le Premier Ministre devra remettre immédiatement la démission du gouvernement au Président de la République. Toutefois, une nouvelle motion de censure ne pourra être déposée durant la même session.

Benno Bokk Yakaar annonce une motion de censure contre le gouvernement Lors de la séance plénière à l’Assemblée nationale hier lundi, Abdou Mbow, président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar, a annoncé le dépôt imminent d’une motion de censure contre le gouvernement. “J’annonce solennellement que nous allons déposer dès demain une Motion de censure pour faire tomber le gouvernement”, a déclaré Abdou Mbow devant l’hémicycle.Cette annonce intervient dans un climat politique tendu, après le rejet du projet de loi sur la révision de la Constitution visant la suppression du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE) et du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT). Si cette motion est effectivement déposée, une session extraordinaire sera convoquée pour en débattre, s’ajoutant aux deux précédentes sessions déjà tenues, notamment sur la révision du règlement intérieur de l’Assemblée nationale et celle liée à la dissolution des institutions.Selon l’article 87, alinéa 3 de la Constitution, “l’Assemblée nationale peut provoquer la démission du Gouvernement par le vote d’une motion de censure.

La motion de censure doit, à peine d’irrecevabilité, être revêtue de la signature d’un dixième des membres composant l’Assemblée nationale”. Une fois déposée, la motion de censure ne pourra être votée que deux jours francs après son dépôt sur le bureau de l’Assemblée nationale.Le vote se fera au scrutin public et nécessitera la majorité absolue des membres de l’Assemblée. Seuls les votes favorables à la motion de censure seront comptabilisés. Si la motion est adoptée, le Premier Ministre devra remettre immédiatement la démission du gouvernement au Président de la République. Toutefois, une nouvelle motion de censure ne pourra être déposée durant la même session.

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