Une pipistrelle éprise d’un chat se coupa les ailes et les lui donna. Tel pourrait-on résumer cette affaire de sweet beauty. Communément, appelée l’affaire Adji Sarr/Ousmane Sonko. Cette affaire qui défraie la chronique depuis presque deux ans.
L’affaire oppose Adji Sarr, une jeune employée d’un salon de massage tristement sortie de l’anonymat et par un bouillonnant et célèbre opposant : Ousmane Sonko.
Alors cette affaire a bien mis le Sénégal sens dessus-dessous. Les développements entre temps de cette affaire Adji Sarr ont connu beaucoup de rebondissements et tenu le pays en haleine.
Aux derniers développements, la demoiselle Adji Sarr a ouvert un autre front : celui d’affronter ses protecteurs. D’après les audios qui ont suinté par l’intermédiaire de son marabout le nommé Mc Niass.
Aujourd’hui, on pourrait encore assimiler Adji Sarr, à cet escargot qui filant au galop, heurta un canard et l’écrabouilla. Car le nouveau front qu’a ouvert cette supposée violée renvoie bien à cette image de l’escargot et le canard. Au-delà et par-dessus tout, Adji Sarr risque et prend le risque d’être écrabouillée par les uns ou les autres.
En attendant le Sénégal reste quand même « un pays irréel ». Autant pour moi ! C’est à vous de qualifier ce qu’était ce pays de la « Kersa » (pudeur) !
Kélétigui